Nos Propositions
Le Contrat Social à But Lucratif
Le déclin de la France est le résultat d’une interconnexion de problèmes, et actuellement, la politique consiste
à en gérer les conséquences, une par une : une aide, une subvention, un dispositif, une mesure, encore une
mesure… L’inefficacité de cette approche faite de dogmes et d’une vision à court terme est de notre point de vue
la raison pour laquelle beaucoup ont perdu espoir en l’action politique.
Le respect de la réalité permet de reconnaître ce qui marche et ce qui ne marche pas afin de faire de meilleurs
choix. Ainsi, nous proposons le renouveau du contrat social afin de nous libérer de l’emprise de la suradministration
économique et de gérer les externalités sociales d’une économie désadministrée, c’est-à-dire mutualiser les
coûts des externalités afin que personne ne les supporte seul.
Le modèle libéral a certes démontré son efficacité à créer des richesses économiques, mais l’erreur du libéralisme
est de penser que les mécanismes de marché peuvent à eux seuls résoudre les problématiques sociales alors que ce n’est
pas vrai. Mais une autre erreur est de croire que l’action politique par la suradministration économique permet une
meilleure allocation des ressources que les mécanismes de marché guidés par le respect de l’opportunité : ce
n’est pas vrai non plus, et la réalité montre qu’on ne peut pas résoudre un problème économique avec une solution
sociale. Au final, trop nombreux sont ceux qui peinent à boucler les fins de mois, et beaucoup se retrouvent exclus.
Plans de relance, dispositifs artificiels, primes dérisoires, aides aux entreprises… Au contraite d’une économie
suradministrée par une élite qui dirige avec du "laissez-nous penser pour vous"
la démocratie économique que nous proposons consiste à redonner du pouvoir économique à tous les acteurs
économiques : pouvoir d’acheter, pouvoir de dépenser, pouvoir de changer de carrière, pouvoir d’investir,
pouvoir de décider…
Nous proposons de rediriger les moyens affectés à la suradministration économique vers
les missions régaliennes et vers le service public. D’un État qui dirige, un État qui arbitre. Nous préférons nous
fier au sens des affaires des acteurs économiques et proposons de mettre en place une démocratie économique qui
leur redonne le pouvoir de décision économique afin de créer une économie prospère, avec au final une meilleure
qualité de vie pour tous.
Nos Réformes
À l’opposé des dogmes traditionnels qui nous ont conduits au déclin, notre projet de société s’articule autour
d’une philosophie réaliste, c’est-à-dire inspirée de ce qui marche dans le contexte d’une économie mondialisée et
de plus en plus tournée vers la technologie. Pour libérer le potentiel de la France, nous proposons des idées
novatrices autour de quatre axes de réforme : l’économie, l’éducation, la sécurité et l’État.
Notre approche
Pour sortir du déclin, nous proposons un ensemble de solutions qui traite les problématiques dans leur globalité.
Par exemple, la désindustrialisation est en partie liée au fonctionnement du système des retraites, la perte en
pouvoir d’achat et le manque de moyens dans les services publics sont liés au financement de l’entrepreneuriat
et au fonctionnement du marché de l’emploi, tandis que de nombreux problèmes économiques et sociaux sont liés au système
éducatif, et la vie politique de notre pays est liée à notre Constitution… Tout ceci est lié.
Nous formulons des propositions fondées sur le réalisme : une perspective orientée vers les solutions, inscrite
sur le long terme, et basée sur le respect de la réalité plutôt que le dogmatisme.
La promesse
L’article 27 de la Constitution dispose que tout mandat impératif est nul et trop souvent des candidats promettent
des mesures sans ensuite tenir leurs engagements. Nous pensons qu’une grande part de la perte de confiance en la
politique est justement liée aux promesses non tenues. Notre approche est différente : nous promettons de rester
fidèles à nos engagements et d’implémenter toutes les mesures proposées selon la volonté démocratique qui les aura portées.