Pourquoi la France est-elle en déclin alors que de nouvelles puissances économiques émergent ? Comment
se fait-il qu’ailleurs des milliards de gens sortent de la pauvreté tandis qu’en France la misère
progresse ? Pourquoi sommes-nous en train de passer à côté de la prospérité moderne ?
Nous les Démocrates de France pensons que la clé pour nous relancer consiste en une prise de conscience
collective pour permettre une évolution culturelle, pour développer le sens du respect et mettre en place
un nouveau projet de société, un contrat social à but lucratif afin de prospérer à l’ère de la
technologie et de la mondialisation.
C’est possible !
Que faire ?
Le Mal-être collectif
Pouvoir d’achat, inflation, prélèvements obligatoires, désindustrialisation, déficits, dette publique
mais aussi montée de la délinquance et des discriminations… Les problèmes contemporains résultent de
plusieurs décennies de mauvais choix politiques. Les solutions sociales ne permettent pas de résoudre
les problèmes économiques car au final, si l’un perçoit une redistribution que l’autre paye, il n’y a
pas de progrès collectif.
Pourtant, même si l’espoir que l’action politique puisse enrayer le déclin s’amenuise, même si l’exaspération
générale monte, nous souhaitons proposer des solutions concrètes et originales pour relancer la France. En
réalité, nous avons besoin de repenser notre modèle de société pour l’ère moderne : conserver
et même renforcer notre modèle social, tout en développant un nouveau modèle économique.
Comment s’en sortir
La prospérité améliore la qualité de vie. Désormais, elle découle d’une économie en phase avec la technologie
et la mondialisation, mais notre modèle économique et notre héritage culturel ne sont ni adaptés à l’entrepreneuriat
technologique, ni adaptés à la mondialisation. La France recule tandis que d’autres émergent. Si nous voulons le
changement, il faut donc que nous changions nos perspectives pour prendre de meilleures décisions individuelles
et collectives.
L’aspect culturel du déclin n’est souvent pas pris en compte alors que la politique n’est pas uniquement une
affaire de lois et d’institutions. Ces dernières décennies, nous sommes passés d’un monde où les grandes réussites
économiques partaient de décisions de dirigeants à un monde où elles partent de l’individu. Avec la mondialisation
et la technologie numérique, nous sommes passés à une époque où la réussite de l’un dépend du respect de l’autre donc
bloquer l’envol de l’autre par manque de respect est un coût d’opportunité pour tous. L’ingrédient de la prospérité
moderne est le respect dans les moments charnières : 0 entreprise française de plus de 10 milliards créée depuis
1975, 220 aux États-Unis et 84 en Californie. Pourquoi ?
Bien que certains rejettent la mondialisation ou se méfient de la technologie, c’est pourtant nous remettre
en phase avec ces opportunités des temps modernes qui nous permettra de retrouver le chemin de la prospérité
collective. La souveraineté nationale ne se décrète pas, elle se construit, en gagnant, en permettant aux
aspirations individuelles de s’accomplir afin que ceux qui se sentent aujourd’hui exclus puissent retrouver leur
dignité avec un meilleur niveau de vie.
L’action politique
Plutôt qu’une action politique redistributive souvent au mépris de la réalité économique,
nous proposons le renouveau du contrat social à l’ère de la technologie et de la mondialisation, basé sur le
respect de la réalité et le respect mutuel. Plutôt que nous entraider à être confortable dans la misère, notre
vision politique consiste à utiliser le pouvoir du collectif pour nous entraider à prospérer avec un contrat
social à but lucratif.
Nous proposons donc de sortir de l’emprise de la suradministration et de mettre en place une démocratie économique :
l'État se concentre sur ses missions essentielles et redonne le pouvoir de décision économique à tous les acteurs
de l’économie. Notre projet, ce n’est pas une meilleure forme de dirigisme, c’est la fin du dirigisme. Une économie
plus prospère, une société plus juste, une démocratie plus participative : c'est possible !